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Article paru dans "l'Univers des Arts" en 2009

 

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Article paru dans "Arts Actualités Magazine" en 2008

 

Vers de nouvelles sensations

 

 

En matière d’informel, le premier regard doit suffire à se satisfaire de l’œuvre, à susciter une émotion. Certes le caractère décoratif joue son rôle mais l’intérêt est ailleurs, dans ces sentiments partagés avec l’artiste le temps d’une œuvre.

Avec Jean Soyer, le mélange d’envolées primitives et de traces calligraphiques s’exprime dans une explosion de couleurs qui ne laisse pas indemne. D’autant que des champs vibratoires se créent, se répondent, se bousculent, en laissant deviner des formes, en laissant apparaître des empreintes comme des souvenirs que l’artiste propulse sur la toile, à son corps défendant, avec une énergie qui puise sa force au tréfonds de son être. Des désespoirs et des bonheurs en fonction de son humeur! Ses pulsions jaillissent sur la toile, traçant des énergies positives à travers une gestuelle débridée et maîtrisée à la fois qui ne semble obéir qu’à un seul mot d’ordre : liberté créative, liberté pulsionnelle, liberté émotionnelle.

Les couleurs sont chargées d’une vibrante émotion, on s’attarde devant un carmin fulgurant, on remarque des superpositions transparentes de mauve, de rouge et de bleu outremer comme si la réalité se composait de feuilles qu’on pourrait tourner une à une.

A travers ces échappées lyriques, Jean Soyer s’exprime dans sa flamboyance de superpositions chromatiques qui laissent entrevoir une manière passionnée de sentir et de vivre. Voici une peinture qui respire la liberté, un art qui rend magistralement la rencontre des volumes et l’élan du mouvement.

 

 

par Thierry Sznytka critique d’Art à Arts Actualités Magazine (2008)

 

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Article paru dans l'Univers des Arts n° xx de mai 2005

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Article paru dans Arts Gazette International

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Article de Hilda Van Heel (octobre 2005)

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Article paru dans l'Univers des Arts n° xx de 11/2004

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Article paru dans OUEST FRANCE avril 2002

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Article paru dans "Artension" n° 6 de Juillet 2002

Jean Soyer : comme un poème qui court à la surface du réel.

Jean Soyer a eu une fulgurante révélation de la peinture en rencontrant une toile de Nicolas de STAËL à la vitrine d'une galerie Parisienne en 1987. Il dit en avoir encore aujourd'hui des frissons rétrospectifs. Mystère de la peinture. Mystère de l'émotion poétique qui comme un grand vertige se matérialise corporellement. C'est le texte de son ami poète Camille Vidal qui accompagnera donc ici la peinture de jean Soyer présentée cet été au musée Départemental des Hautes-Alpes.

"Comme un poème qui court à la surface du réel par lequel s'accomplirait l'alliance des contraires, l'impatience mais la vigilance extrême, l'excès et le dépouillement, l'audace et la désinvolture, le saccadé et le continu, la chaleur et la froideur, la nuit massive et les couleurs du jour. Dans les toiles de Jean Soyer, il y a l'autorité des masses et celles des lignes brisées. Morceaux d'espaces qui s'éparpillent, qui se dispersent. Jets de vibration, parcelles de matières, blocs anguleux, sur lesquels ruissellent la lumière, qui elle-même se fragmente pour nous atteindre tous. Dans cette oeuvre : un accomplissement.
Il faut y regarder longuement. On y trouvera la force et l'élan. Mais aussi ce que nous cherchons tous au-delà de la beauté : l'inespéré. Camille Vidal."

Pierre SUREAU.
"Directeur de Artension"

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Mot de Christian Germak
de la revue "Arts Actualités Magazine" - juillet 2002

Le titre qu'a donné Jean Soyer pour son exposition est celui du programme de la naissance de tous les hommes "du rêve à la vie". Peintre non figuratif, mais peintre des couleurs, il nous présente des toiles dont la substance est faite de voiles de nuances qui vont vibrer, s'affronter, se concorder, se synchroniser pour finir par s'harmoniser en conformité avec l'éclairage. Le gestuel se concrétise par des plages de couleurs que parcourent des traits et des fantômes qui laissent des traces colorées, tout comme les rêves se continuent dans l'éveil par des impressions qui subsistent et influencent les actes diurnes. Des couleurs qui sont autant de caresses pour le regard, des regards qui sont autant de caresses pour l'âme, c'est-à-dire une musique pour l'esprit.

Christian GERMAK.
"Arts Actualités Magazine"

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Mot de Patrice de la Perrière
Directeur de la revue "Univers des Arts" - juillet 2002

 

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Article paru dans l'Univers des Arts n° 60 de juin 2001

 

Tout commence par un véritable coup de foudre : Jean SOYER découvre une oeuvre de Nicolas de STAËL dans une galerie rue Saint Honoré : c'est une révélation, il ressent une émotion extraordinaire, achète le matériel et se met aussitôt à peindre.
Riche de ses connaissances graphiques, acquises de son métier de graveur lithographe, ses premières oeuvres, très inspirées de ce grand maître auquel il doit sa nouvelle passion, sont réalisées sagement dans des variations de gris. C'est le plaisir de découvrir et travailler la sensualité de la matière.
Jean se dit très contemplatif et peut rester des heures à observer un paysage simple, surtout la mer, et une envie d'évasion s'ébauche. Le geste commence à s'élargir, il recherche des grands aplats. Tout s'organise autour d'un premier trait, les couleurs commencent à bouger, la personnalité de l'artiste s'impose.

Progressivement il adopte les grands formats, son geste se libère, la palette s'agrandit jusqu'à atteindre 1m50 : c'est l'euphorie des éléments, le choix de la première couleur guide les suivantes, de ce premier geste très étudié, découlera toute l'harmonie de la toile.
C'est un artiste qui a besoin de calme et de sérénité pour travailler, tout est relâchement et maîtrise à la fois, rien n'est effectué au hasard. Il peint la nuit à partir de 21 heures pour s'arrêter au petit matin.
A la suite du décès de sa femme, les tonalités s'assombrissent : noir, terre de sienne; il a besoin de sérénité et de réflexion; mais durant cette période très intériorisée, il étudie, cherche et apporte des transparences à ses oeuvres, laissant suggérer des zones d'espoir et de renaissance.

Maintenant, Jean SOYER tente de plus en plus de créer une énergie, la palette explose, les jaunes, les ocres, l'épaisseur de la matière. Il est hanté par une envie folle de communiquer une émotion, une dynamique et une intensité de vie. Viennent les vermillon, carmin, côtoyant toujours les tonalités de gris qui ajoutent vibration et douceur. On a l'impression maintenant que l'artiste peut tout se permettre.
Le peintre se refuse à donner des titres à ses tableaux, laissant à l'amateur le choix de sa propre interprétation. Son oeuvre est avant tout la transmission d'une impression, d'une mobilité, il ne veut pas la figer par un nom qui pourrait influencer le spectateur.

Claire d'Haussy.

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Article paru dans Arts Actualité Magazine de mars 1999

 

 

Lorsque la peinture devient un art uniquement par la contribution qu'en apporte directement la pâte dans une modulation qui lui est propre, et qu'accompagne une autre forme de variation sensuelle, qui est celle de la couleur, l'oeuvre suit un chemin créatif déjà défloré dans le domaine musical.
Musiques, dont les origines furent les bruits, puis les murmures de la nature, y compris ceux du chant des oiseaux, des soupirs de joie, et des gloussements de satisfaction. L'homme qui les trouva agréables à son oreille les imitera pour son plaisir, puis les fera migrer d'une imitation pure et vers une composition créée par son esprit.
Traduisant ainsi sous une autre forme, que l'on nomme musique, sa recherche d'une délectation auditive, Jean SOYER qui a entièrement intégré en lui et dans ses huiles ces critères, nous propose de voir un concert de sa composition au cours duquel nous irons de sensation en sensation et d'état d'âme en état d'âme.

Et ce pour le plus grand plaisir de nos sens comme de notre esprit.

Christian GERMAK

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Article paru dans l'Univers des Arts n° 40 d'avril 1999

 

Riche d'une solide formation graphique acquise à l'École Supérieure Estienne des Arts et Industries Graphiques, Jean SOYER ressent en 1987, l'impérieux désir de peindre pour s'exprimer plus personnellement.
Déjà, l'on peut observer l'harmonie de ses compositions. L'éclat de sa palette, en particulier son exploration du gris, couleur aux milles densités, aux nuances qu'il aime à décliner. Mais au-delà de ce que l'oeil voit, la peinture parle d'elle-même et chaque toile rappelle à celui qui veut bien la ressentir, une émotion, une histoire peut-être ?

La rencontre avec l'oeuvre de Nicolas de Staël orientera l'artiste vers davantage d'abstraction, vers un traitement de la matière qui devient alors l'objet et non plus le prétexte de la narration. Il mêle les formes rigides jusqu'au déséquilibre, il tranche dans la masse lisse et brillante, en la rendant râpeuse, transparente parfois, noueuse ou granuleuse d'autres fois.
Cet élan vital qui le porte, le mènera hors des petits formats. Découvrant ainsi un espace d'expression plus grand, son geste se libère, le pousse à d'autres compositions, l'entraîne hors toile, fait déborder un volume qui prend alors le pas sur l'autre.

A ces moments, répond l'émotion de chacun : au-delà d'une brèche ouverte, sur une ligne lointaine à peine distincte ou à travers un pan de toile qui sort de l'obscurité. Après avoir suggéré une certaine réalité à travers sa découverte des gris, du lumineux ténèbres issu de l'alliance des bleus outremer et cobalt, la richesse des terres d'ocre et de Sienne l'incite à de nouveaux embrasements.

En apposant d'autres textures, apparaît alors une lumière fauve irradiant ici des masses d'ocres et de bruns. Ailleurs, un puit de lumière blanche nous précipite le long de parois abruptes et épaisses. Aujourd'hui, la palette des couleurs à harmoniser ou à confronter reste immense.
Depuis dix ans déjà qu'il pétrit la matière et la balafre, une vision plus personnelle en émane : il puise aux tréfonds de lui-même, dans les saveurs et les senteurs de la terre matière, dans les couleurs et les lumières de la terre en mouvement. Le geste jaillit, le coup de spatule, plein de force et de vigueur, est plus ample et plus fluide encore.

Il retrace la sensation enfouie et enclenche alors une histoire qui dépasse le peintre lui-même. Il ne reste au spectateur qu'à se laisser impressionner, telle une pellicule photo et, à son tour, laisser émerger le goût puissant de la vie, la sensualité.

Valérie S.

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Article paru dans le journal "l'Action" du 9 juillet 1999

 

 

Jean SOYER à la Halle aux Grains
Une magnifique exposition entre froideur et chaleur

La ville de Mortagne organise une grande exposition d'art contemporain jusqu'au 25 juillet prochain à la Halle aux Grains. Une exposition présentant le travail de Jean SOYER, un peintre connu internationalement et installé à Draveil (91). Ce dernier peint depuis 1987, après avoir reçu une formation dans la célèbre École parisienne Estienne. Il s'intéresse alors au domaine de l'abstrait et s'attache à composer des harmonies de couleurs tout autant que de forme. C'est après avoir découvert l'oeuvre de Nicolas de Staël qu'il s'oriente vers l'abstrait et traite la matière.
Aujourd'hui, dix ans après ses débuts, Jean SOYER donne une vision plus personnelle de ses recherches. Il puise aux tréfonds de lui-même dans les saveurs et les senteurs de la terre matière, dans les couleurs de la terre mouvement, le geste de peindre jaillit, le coup de spatule, plein de force et de vigueur est plus ample et plus fluide encore. Il retrace la sensation enfouie et enclenche alors une histoire qui dépasse le peintre lui-même. Il ne reste plus qu'au spectateur qu'à se laisser impressionner, telle une pellicule photo, et à laisser émerger le goût des émotions fortes.

Samedi dernier lors de l'inauguration, Camille Vidal, maire adjoint chargé de la culture, rappelait l'exemplarité du travail de l'artiste et soulignait les différents antagonismes de cette peinture "à la fois froide et chaude". Jean SOYER, quant à lui, restait humble et concluait :
"Je suis ravi de venir à Mortagne où sont mes origines de par mon père. J'espère que je reviendrai". Il ne reste plus qu'au public à découvrir ce travail certes "pointu" mais non moins intéressant.

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Article paru dans le journal
"Süddeutsche Zeitung" (Munich) du 7 janvier 1999

 

 

"D'abord un élan du bras, puis un coup de spatule".

Jean Soyer peintre connu, expose actuellement ses oeuvres d'art pleines de vigueur à la galerie Ars Vivendi de Grünwald

Lorsque la nuit tombe sur Paris et que la grande ville s'apaise peu à peu, un homme se concentre, explore son âme et se met à l'oeuvre : le peintre Jean Soyer.

Le premier geste de peindre jaillit, le coup de spatule plein de force et de vigueur amorce l'orientation de la toile qui va naître. Cette première "trace" détermine ce qui va suivre. C'est bien ainsi que l'on doit se représenter le processus créatif du Français Jean Soyer, qui aime par dessus tout peindre la nuit. C'est à ces heures obscures et denses, dans la profondeur des silences, qu'apparaissent les images de ses oeuvres que l'on peut actuellement contempler à la Galerie ars Vivendi de Grünwald.

Dans la galerie, les oeuvre de Jean Soyer cohabitent avec des meubles originaux "art déco", des objets asiatiques et d'autres créations de designers. On découvre de grandes huiles peintes sur toiles, de différents formats, de 60 à 100 cm jusqu'à de plus petites oeuvre de la taille de cartes postales et même de miniatures. Ses tableaux sont ici tout à fait dans leur élément. Décoratifs et attirants de par la délicate harmonie des compositions, l'éclat de la palette et la manière expressive, ils semblent répondre au goût de la clientèle et comblent un besoin d'art chez eux, déjà conquis, par des artistes modernes confirmés.

Jean Soyer (né en 1937) est un artiste sérieux. Après une formation de graphiste et une activité intense en tant que directeur artistique d'une agence de publicité, il décide en 1987 de consacrer une partie de son temps à la passion de sa vie : peindre. En 1989, ce fut sa première exposition et à partir de 1997, sa vocation d'artiste s'exprime à temps plein. Depuis, son parcours est déjà jalonné de nombreux prix et distinctions.

Depuis dix ans, il travaille la matière et a ainsi donné le jour à un style tout à fait personnel. On peut voir ce que l'on veut dans se tableaux : des bateaux à voile couchés sur l'eau par le vent, des chutes d'eau gigantesques, de vastes paysages de sable, d'émouvantes formations nuageuses, des plumages d'oiseaux aux couleurs magnifiques ou des natures mortes. L'interprétation de ses tableaux est sans limite. Il renonce volontairement à donner des titres à ses toiles. a chacun de s'inventer sa propre image, sa propre histoire à propos de toues ces touches de couleur ocre et bleu azur, noir intense et rouge cinabre, gris clair et terre de Sienne, jaune lumineux et blanc cassé.

Quelle que soit la façon dont on ressent la sensualité de ses tableaux, il s'en dégage toujours une jouissance esthétique.


Angelika IRGENS

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Article de Jean Gelbseiden Juillet 2003

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Article de Jean Gelbseiden 2005

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